mardi 2 décembre 2008

Et quoi ...

C'est bien vrai ça et quoi ?
A vrai dire il y a encore mille questions qui me freinent. Il y a ce problème dont je ne me séparerais jamais. Un sacré frein à beaucoup de choses. Je n'arrive même pas à le définir, au moment où je peux mettre un nom dessus à force d'y réfléchir, je suis arraché à cette pensée parce que les gens ont besoin de moi, ou vient une autre théorie qui vient anéantir l'autre.
C'est complexe.
Je ne dispose pas assez de solitude pour y répondre.

Mais bon. C'est à moi de gérer ça.

Il neige ici et le fond de l'air est froid, le vent également.

Je me remet au travail. Je suis tombé sur une vieille nouvelle, un ersatz d'écriture libre dans lequel je m'absorbe facilement. Pour mon plus grand plaisir.
J'ai beaucoup de mal avec le genre du roman. il faut dire que le cadre de vie dans lequel j'évolue n'est pas propice à quoi que soit d'absorbant.

Cela dit je ne me plains pas. Par le passé ce fut pire encore.

Je ne suis également plus très sûr de la voei que j'ai choisi. Dans le doute je trouverais la réponse.

J'apprends également que la guilde est référencée à cette adresse Le Who's Who du BSC News

Je devrais reprendre ma correspondance.

vendredi 21 novembre 2008

considérations

Dans mon actuel boulot, il y a un nombre conséquent de femmes. Hier encore, j'étais le seul employé masculin au milieu de onze filles. J'avais eu une dure journée et le soir on m'avait collé à un poste fatiguant. Je remercie le ciel qu'il n'y ai pas eu beaucoup de monde.
J'avais beau les repousser, elles s'intéressaient quand même à moi sous prétexte que j'étais physiquement là. J'en avais vraiment marre et j'étais d'assez mauvaise humeur.

Il y a de ces fois où travailler dans un environnement féminin relève de la Justice chez Kafka. Ce matin j'ai fais deux cauchemars dans lequel j'incarnais un monsieur K dans une sorte de revisitation du Procès, mais uniquement avec des femmes. Tout ce que je pouvais dire n'avait de but dans leurs cerveaux que de m'enfoncer, ne serait-ce que la simple considération du beau temps.
C'est effrayant !

A la fin je me faisais sauter avec un bâton de dynamite dans la bouche pour être sûr de retrouver ma liberté. J'étais joyeux car je partais en mille étincelles en réduisant à néant le kiosque où se déroulait les simulacres de procès.

dimanche 9 novembre 2008

Dernière publication

Oui dernière publication, datant du 1er Novembre.
Mine de rien ca fait huit jours.

J'ai pour excuse un immense bordel à gérer et ranger au compte goutte, donc je me la joue archiviste polyvalent et je passe d'un service à l'autre sans ciller.

Certes j'ai quelques bouquins à lire pour renflouer la filiale et de nouvelles et brillantes idées. De plus l'irrépressible besoin de voir la mer me taraude les méninges ces dernires temps.
Un futur coup de tête à prévoir...

Des perspectives d'avenir fort réjouissantes. Un rêve récurrent qui me concerne moi ainsi qu'une amie de ma soeur et de moi-même. Des horaires n'importe nawak au boulot. une certaine lassitude à l'arrière goût de gâchis et d'impatience, du sud de la france.
Une correspondance en retard pour diverses personne et surtout la seule sur cette planète que je peux aimer.

L'air du temps qui change, allongeant les journées et abrégeant le jour au profit de la nuit à la fureur visible qui ne s'embarasse pas d'un crépuscule versatile.
Bref, je suis sur l'enclume du doute et le marteau n'a pas encore frappé.

J'ai tout de même eu droit à un dimanche agréablement ensolleillé gâché par d'ignobles heures de travail mal placées.
On se console comme on peut.

Je joue trop au solitaire, et je devrais récupérer internet normalement sous peu.

samedi 1 novembre 2008

filiale

Nous l'avons dit, nous l'avons fait.

Voir le nouveau lien, " la confrérie des libraires extraordinaire"

samedi 25 octobre 2008

Parfois les jours...

Voici le questionnaire auquel je m'astreins à répondre.

C'était quoi ton dernier coup de...
_Folie ; Ce voyage à Paris qui laissera mon compte en banque en piteux état, ainsi que divers petits achat tels livres et films et vêtements.

_Théâtre ; avoir été là où on ne m'attendait pas du tout. C'était il y a longtemps.

_Blues ; J'ai été tenté d'abandonner ce qui représentait pour moi l'amour.

_Pouce ; A une amie qui ne supportait plus sa vie, à une autre qui attendait que son homme devienne un homme. A mon père pour d'autres raisons dont la conclusion réside dans quelque espoir un peu fou et perdu. Je dois lui faire comprendre que ces quarante dernières années n'étaient pas vaines. Trace la route et cherche quelque chose qui te pousse à te lever le matin comme moi je l'ai trouvé.

_Gueule ; Crétin de touristes de merde !

_Chance ; Pouvoir être libre de choisir le chemin d'existence qui me plaît le plus.

_Rein ; En début d'année je crois. J'étais ivre mort elle aussi, peu de souvenirs.

_Frein ; Vivre chez mes parents.

_Essai ; Prendre soin de mon corps.

_Fatigue ; Savoir que je n'atteindrais jamais mon objectif. Travailler trop.

_Main ; Ma mère pour mon voyage.

_Balai ; Fini il y a peu de temps. Avoir remis mon existence entière en doute et renouveler les questions essentielles qui m'ont fait avancer. J'ai trouvé de nouvelles réponses et dépoussiéré les anciennes. Je suis un homme neuf.

_Chaleur ; Une collègue hélas à l'esprit limité. Mais bon coup de chaleur.

_Cœur ; Paris.

_Queue ; Pareil que les reins.

REC

Ok ça tourne.

Entre un DNS explosé, un système d'exploitation défaillant et divers petits tracas.

Je ne suis pas parti. J'ai toujours été là, je suis indispensable à l'inutile.
Je n'ai beaucoup changé, pas moins que davantage.

J'ai compris qu'attendre ne voulait rien dire, que ce n'était qu'une perte de temps. Je dirais de façon simple que j'ai une vie qui m'attend.
J'ai trouvé un panel de nouvelles histoires à écrire et je m'y emploi.
Je pense faire quelque chose contre mes problèmes de sommeil. Je soigne mon état. Je meuble plus luxurieusement ma vie.
C'est un sacré boulot et c'est pas fini. Tout d'abord un meilleur boulot.

Et je vois que j'ai été tagué par monsieur Adnihilo
Aller, des petites réponses rien que pour vous.

jeudi 9 octobre 2008

Rainer Maria Rilke

"Lettres à une musicienne"

Vivifiant pour ceux qui voudraient trouver quelques mots juste pour leur égards épistolaires.
Mais surtout très bien écrits.

Deux personnes qui se trouvent presque par accident.

Periode 1

Je suis à peu près présent. C'est l'heure de la période 1.

Alors c'est quoi aujourdh'ui ?

Les hormones de la femme enceinte...Non, je peux faire avec ses commentaires, je compose. Mais c'est vrai que je me demande pourquoi je lui fait pas bouffer son plateau à chacune de ses phrases. La pauvre on dirait qu'elle est dépassée par son stress, limite elle lui courre après. Elle est perdue, et dans son regard nage une espèce d'incompréhension générale.
Un peu comme un poisson mort qui continue de toruner dans le bocal...

Les sorties shopping quasi imposées...J'ai besoin d'un slip et d'un tee-shirt.
dixit ma mère :
<< Lulu dit que tu es resté dehors.
_J'ai acheté Rilke "lettre à une musicienne" il faisait beau j'en ai profité. J'ai rien à acheter chez Jennyfer.
_C'est pas grave rentre quand même, ça plaît aux filles.
_Maman...
_Et alors, faudrait peut-être que tu y penses.
_ Pourquoi faire ? >>
Fin du dialogue.
Edifiant non.

...

La soirée discothèque...attends, j'ai bien lu là !!!
_Oui t'as bien lu.
...
_C'est quoi ce délire ?
_C'est une expérience purement ethologique, je conserve ce nécessaire regard de l'enthomologiste glacé. J'expérimente le social. Et puis je vais peut-être pouvoir me démerder pour me faire offrir quelques verres gratos et pouvoir jouir paisiblement de mon ivresse.
J'explore le monde très curieux du sud de la france là où il n'y a rien.
A ton avis, pourquoi hormis dans le cadre d'une expérience j'irais péter en discothèque. Des putes et des trou du cul gominés qui s'agitent vainement juste pour brasser leur parfum mêlé à la transpiration en simulant l'acte copulatoire on en trouve partout maintenant.
Je vais poireauter assis dans un canapé couvert de vomi à côté d'une semi pute ivre morte qui dans son sommeil aura été sodomisée par une dizaine de types différent dans les chiottes.
<< Elle est à vous ?
_Hein ? Ah non non, je fais que la garder pour ceux qui en veulent, je la connais pas. Allez-y.
_Merci c'est gentil
_De rien, j'aime rendre service.
_T'en veux un peu ?
_je fais un régime sans graisse. >>

T'es dingue ?
_Oui, mais c'est quand même pas maintenant que tu le remarque ?
_non mais tu trouves toujours le moyen de m'étonner à chaque fois. T'es un génie de la dinguerie en quelques sorte.
_C'est pas faux.

Je ferais un période 1 bis pour raconter un peu les fruits de cette expérience, avec peut-être photos à la clé mais faut pas trop compter la-dessus.

vendredi 3 octobre 2008

Min fiou !

Ca faisait un bon moment que j'étais point venu.

Vais dépoussiérer tout ça en tour de main.

En attendant, rien de bien neuf. Les jours s'écoulent. Je vais faire quelques travaux informatiques et me monter un PC tout neuf.
Je serais périodiquement présent.

jeudi 25 septembre 2008

Opération commando !

Titre exhaustif s'il en est...

C'est le nom que je donne "amicalement" aux idées tordues qui viennent souvent à l'esprit de ma sœur. Sauf que maintenant c'est une véritable campagne car elle a convaincu un de ses amis et collègue de boulot d'ajouter sa touche de fantaisie au complot.
Mais voilà monsieur Cavalier est bien retors.

Car il s'agit d'un projet secret dont je vais vous révéler les tenants et aboutissants :

S'occuper de moi. Me forcer à me rendre présentable car je n'entretiens pas mon physique pour le moment ( coiffure, barbe etc...) et probablement me présenter une "copine" que mes plaisanteries vont sans doute faire rire une fois.


J'en endure des tortures ces temps-ci.

Première partie les fringues. Imaginez-moi en habit de tous les jours. Chemise, pantalon noir, chaussures noires, manteau noir. De temps à autre je met de la couleur, mais j'aime les couleurs sombres.
Maintenant laissez un jeune dont les tendances techtoniques sont latentes. Certes il est très sympa, ça je ne dis pas le contraire.
Inutile de vous décrire mon engouement absolu devant telle dévotion.
A bas les pacifistes.


Les gens naviguent dans un monde étrange. Je vais rester sur la berge à les regarder ramer.
Un café noir et chaud, un livre et un peu de musique. Je me la coule douce.

J'ai pas besoin de femme dans ma vie, j'ai des amies que j'aime beaucoup et voilà qui suffit à mon bonheur social catégorie "femme"

Le célibat est la nouvelle maladie.
Sauf que là les médecins auto-proclamés ne vous soignent pas, ils vous euthanasient directement.

lundi 22 septembre 2008

Question



Suis-je capable d'aimer ?
...
Suis-je capable de répondre à cette question ?
...
Oui


Les gens qui me connaissent savent qu'il est impossible pour moi de me fondre, malgré certaines envies, dans une vie aussi terne que riche en ennui, morbide dans son inexistence.

Le problème est que j'ai une définition de l'amour, appris dans les livres notamment, qui dépasse de loin l'union de deux cœurs et à fortiori de la zigounette dans le pilou-pilou.
C'est en ça que la réponse à la question est ardue. Comment expliquer ce qui reste ineffable à mes yeux, et incompréhensible pour le crétin moyen ( soit le citoyen lambda ).

Depuis tout petit déjà ( mais pas trop quand même ) j'ai destiné ma vie au hasard. Mettre un pied devant l'autre sans quitter des yeux le bout de mes chaussures et de temps à autre lever la tête pour voir où je suis.
C'est un peu ça.

J'ai toujours été relativement solitaire, socialement neutre, à la recherche de gens qui font la différence. J'en ai trouvé quelques-uns et j'en suis content.

J'ai divers problèmes ( identification selon le citoyen lambda qui déjà ne comprendra rien à ce stade là )
__Je vis avec une obsession. Le truc qui fait que je me lève le matin. J'ai toujours vu ça comme un défaut dans les yeux des autres. Cette obsession qui ne porte pas de nom m'a fermé les portes de la vie normale du citoyen lambda. A la place j'ai vu autre chose.
J'ai l'obsession d'aller le plus loin possible dans la définition des choses. Que ce soit de simples rudiments de mécanique, au sens de la vie ( je table stéréotype afin de clarifier la définition subjective de la chose )
Je suis comme un spectateur qui voudrait comprendre le dessous du tour de magie pour sa satisfaction personnelle. Comme mettre à nue pour mes seuls yeux les rouages de la joie procurée par le tour.
Je dissèque la vie dans son intégralité.

__Je suis relativement solitaire. toujours dans le cadre de cette obsession dont la partie visible par le citoyen lambda serait une grande curiosité. Je voyage de chose en chose.
Mais j'aime être seul. J'aime voir mes amis et ils le savent. J'aime bien la compagnie des gens. Mais j'aime être seul.
Il y a dans la solitude un parfum qui n'existe nul part ailleurs.

__Je me définis selon la formule de Jean Giono dans un roi sans divertissement, comme un amateur d'âme. Je collectionne ces gens. Beaucoup sont des amis.
Mais ce qui me plaît le plus là-dedans c'est l'infinité des possibilités offertes.

Pour moi les choses doivent avoir un intérêt, un goût particulier. Je m'exprime assez mal car je manque de vocabulaire pour définir l'ineffable condition dans laquelle je me trouve.


Je sais aimer selon ma définition, mais je ne peux pas car je n'ai encore trouvé personne à la hauteur de ma démesure.
J'ai bien un alter ego féminin. Il me tarde de la rencontrer...

Je n'ai pas répondu à la question, évidemment. Ou peut bien que si. Allez savoir...

Que les sceptiques se rassurent, il est impossible de cerner ma personnalité. Je n'existe pas, je suis une idée de moi-même et l'illusion d'un autre.
A méditer...

Hymne à la joie.

Y'a des fois, on se demande si certaines personnes sont des êtres humains...

vendredi 19 septembre 2008

The return of the Griffon

Grande nouvelle !

Je vais retourner à Paris. Du 24 au 27 Octobre 2008.
4 jours de folies !

samedi 13 septembre 2008

Message à toi !

Se planter quelques millimètres de pointe d'une lame de cieseaux, ça fait pas vraiment mal.
Mais tu pisses le sang, le pansement c'est pour pas en foutre dans le sandwichs.

Par contre la capote ( morceau de latex adapté au doigt de la main ( droite ou gauche je vous vois venir ) c'est un peu space )


Spécial Merci à Vanessa, collègue de travail sans qui j'aurais été en retard !

jeudi 11 septembre 2008

Emerveillement !

Je me suis acheté pleins de bouquins !!!!

Et j'emmerde les dyslexiques !

mercredi 10 septembre 2008

C'est fou ça !

Je m'autorise dans ma grande générosité un post sans aucun intérêt.

Comme ça, j'ai envie d'écrire un truc inutile.

Pour compenser l'hypocrite lèche-cul qu'est mon directeur qui m'a qualifier de bon travailleur.
Si tu savais comme je m'en fous. On serait en librairie, je serais super content. Mais là c'est un Macdo. Tu m'as bien regardé mon vieux !?

Eh oui les grands patrons étaient là aujourdh'ui pour noter.

Il y a cinq minutes, j'ai eu envie d'offrir des fleurs à la femme qui partage ma vie. Mais il n'y a pas de femme qui partage ma vie. Je me suis donc rabattu sur un sourire niais de fol espoir.
Ça met du baume au coeur.
A mettre dans la catégorie aujourdh'ui j'ai mangé des fraises !

mardi 9 septembre 2008

Far away

La vie sur Mars, c'est dur.
C'est très dur même, c'est dangereux surtout si vous n'êtes pas syndiqué.

Et c'est pire quand vous faites comme moi, vou baroudez dans un véhicule nommé betrayal.

Mais c'est passionnant !

Si vous voulez essayer cliquer là, sinon tant pis !
Tem Card Kalendis

lundi 8 septembre 2008

Mitoyen

Quelque part entre l'automne et le printemps, je crois.

Ambiance

Découvrez Skunk Anansie!


Je me sens un peu plus vide qu'a l'accoutumée. Il n'y a rien vraiment, à part faire semblant.
J'ai une place ici, mais ce n'est pas celle qui me convient.
Je compose avec l'attente.
J'attends.

Je fume trop. La bougie se brûle bien vite par certains moments.
Je suis content d'avoir une raison de me lever le matin.

Morceau choisi

La Manzana c'est dégueulasse. Ils peuvent pas boire de bières comme tout le monde.

Je crois que je manque de pratique.

samedi 6 septembre 2008

Souvent

J'ai envie de bousculer un peu les choses.

Non pas trop stagnante, mais disons éthologiquement parlant me mêler aux coutumes de mes collègues de travail.
Dimanche soir première expérience.

Presque !

Cette fille me plaît, mais uniquement physiquement.

Avec un peu de chance ce sera passager...

c'est la rentrée...!

Littéraire bien sûr, les miasmes ambulants bavant des cris qui feraient passer la Callas pour un sofa plus qu'une diva, m'exaspère au possible.

Bref, j'y ai jeter un rapide coup d'oeil de libraire nostalgique à la librairie Privat Lhéris de Tarbes ( les rumeurs affirment que malgré le nombre d'employé conséquent il n'y a qu'un libraire et ce jour-là il était en sortie shoping avec un gay refoulé, une nonchalante anorexique autiste, et ma soeur.

Plein d'entjousiasme en sachant ce que l'on peut faire avec des mots ( huysmans ou encore Peake ) je prenais un nouveau livre pour finalement le reposer et en prendre un autre et faire pareil avec une bonne partie de la production pseudo littéraire d'intellos crasseux imbus d'eux-même.

Quelle perte de temps, quel plaisir gâché, encore une fois.

J'espère juste comme chaque année qu'il y a eu moins une exception. qui traîne quelque part, perdue devant l'empire d' l'illisible.

Où vas-tu ?

Un soir alors que je quittais un ami qui rentrait chez lui j'annonçais mon intention de ma balader.
Il me demanda où j'allais...
Et je répondis sans trop réfléchir en regardant une rare étoile dans le ciel de Paris qui me semblait perdue dans ce monde de fous.
"Je ne sais pas, peut-être derrière l'horizon"


Pour en revenir aux choses matérielles, j'ai eu mon premier salaire depuis le début de l'année.
J'ai donc pu sans remords m'adonner au plaisir d'acheter des livres et de nouveaux habits.
A mettre dans la catégorie aujourd'hui j'ai mangé des fraises.

samedi 30 août 2008

Ètiquette.

Les tourments de l'automne s'approchent et ta porte reste fermée.

Depuis ce jour, où tu m'as laissé seul. Tu m'as poignardé de tes murmures qui fleuraient le café chaud.
Tu m'avait demandé d'être honnête avec toi. J'avais refusé tant d'années. Maintenant je le suis et c'est toi qui fuis.
Je t'avais maintes fois prévenu que ces quelques mots étaient mauvais.

Je ne peux plus être honnête avec toi, je peux plus prendre ce café avec toi. Je ne peux plus te voir. Tu as décidé de fuir, sans doute pour trouver le courage d'être honnête avec toi.
Je ne veux plus que tu reviennes...

vendredi 29 août 2008

La course du soleil

Un peu de nostalgie pour entamer la fin de semaine.


Découvrez Tears for Fears!

jeudi 28 août 2008

Trilogie

J'apprends beaucoup sur moi. J'évolue sans cesse pour toucher cette forme d'excellence après laquelle j'ai toujours couru.
Je vis bien avec mon obsession, que mon défaut d'impatience rend pourtant difficile.

Je sais que quoi qu'il arrive j'ai fait le bon choix. Le bon choix car je sais m'accommoder de celui-ci, trouver mon bonheur en lui.

Je m'attache au présent. Je ne pense pas au futur, il n'a pas de valeur pour quelqu'un comme moi.

Ce que je construit, je ne le fais pas pour les autres, mes amis, ma famille, un futur amour. Je le fais pour moi, parce qu'a chaque pas j'en apprends un peu plus sur moi.
Je me forge moi-même dans un chemin qui n'a pas de fin.


Je finirais perdu dans l'horizon, ou derrière. En attendant je vais marcher plus loin dans ce miroir, dans ces parties de moi que reflètent mes choix.
Mais je marche seul.
Ma vie est incompatible avec une vie pépère à la sauce femme et enfants.

Je vais plus loin que ces conceptions, sans m'arrêter.

Le seul véritable apprentissage, savoir ce qu'il y a vraiment d'inscrit dans le mot vie.

C'est ça mon but.

Camille, que tu permettes de le dire ou non, va te faire foutre avec tes réflexions stupides. Même si je suis seul, au moins j'ai l'assurance d'être toujours heureux, car je construit mon bonheur de moi-même et non d'espoir comme toi. Je t'ai expliqué les règles du jeu, si tu n'es pas capable de faire avec alors tu as échoué avant même de commencer.

vendredi 22 août 2008

Quelque part par là...


Le thé chez les fous.


Des envies de grandeurs. Des impressions de puissance.

Vraiment, ce travail n'est pas glorieux, mais c'est un travail et c'est tout ce qui compte.
Le plus attrayant dans l'histoire est la promesse de mes projets garantie par le doux froissement du bulletin de salaire mensuel.

Sans blagues, des tonnes de jeux vidéos, des voyages. Et peut-être cette femme qui n'existe pas et pourtant bien réelle.
Pour résumer reprendre ma vie là où je l'ai laissé il y a quelques mois.

Mais chaque chose en son temps...

lundi 11 août 2008

Prix Nobel de la paix

En effet il y a longtemps que vous ne m'avez vu.

Je n'avais pas disparu, en revanche je vous demande un peu de temps supplémentaire afin de me préparer spycologiquement à reprendre un boulot.

Car j'ai peut-être trouvé un boulot, j'attends confirmation.

mardi 5 août 2008

AAAAAAAAHHHHHH

J'ai vu ça !
Je l'ai vu !

Jamais...Jamais...jamais je n'ai vu chose pareille.

Je veux vos commentaires, mais d'abord visionnez le premier épisode en entier !

dimanche 3 août 2008

Adieu la gloire !

Parfois il faut savoir mettre temporairement ses envies, rêves ou désirs, appelez ça comme vous voulez, de côté.

Pour mieux les réaliser plus tard.

J'ai toujours haï la patience, même quand ça en valait la peine. Cela ne m'a pas empêché d'attendre. Et aujourd'hui cela fera 24 ans que j'attends.

Et j'y suis presque...presque...

A vrai dire il n'y a pas beaucoup de monde qui peut comprendre ce qu'on ressent dans de tels moments. C'est dur à expliquer pour qui n'a pas cette ambition.
Dire que c'est empêcher un musicien de jouer, un écrivain d'écrire ou encore un peintre de peindre, serait réducteur.
Non c'est comme vous empêcher de faire la seule chose qui vous retient sur cette planète. Presque une privation d'existence pour laquelle vous avez sacrifier tant de choses.
C'est un chemin douloureux et penser que ça n'a servi à rien vous met dans un état indescriptible de détresse.

Je comprends un peu plus ce que mon père exprime si mal ( zéro tact ni diplomatie, pour comprendre ce qu'il dit faut vraiment connaître les tenants et aboutissants de la chose )

C'est simple, tant d'efforts, de sueur et de sang et de choses laissées derrières. Pour au final revenir au point de départ. Vous avez accompli des choses, certes, mais vous savez que c'est du vent quand on vous dit ça.

Il s'agit peut-être de reconnaissance des efforts employés. D'un problème de justesse des choses. Vous avez fait tous ça pour rien.
Alors que d'autres n'ont rien foutu et accèdent à mieux.

Vous ne trouvez pas ça juste, mais vous n'y pouvez rien car on vous traite de jaloux et d'injuste.

La seule chose à faire, c'est de vous battre et continuer. Même si je n'y arriverais pas, je ne peux pas renoncer à tout ce que j'ai perdu.
Surtout quand vous avez commis une erreur, ou du moins ce que vous considérez comme une erreur. Faire machine arrière est impossible, pas par fierté plutôt par raison de vivre.

Je vous garantis que c'est dur, mais pour rien au monde je ne troquerais cette existence contre une autre sans pet de travers, avec BAC, université, copine et super boulot.
Parce que je sais ce que ça veut dire la valeur de la vie et la gloire.
Et rien ne peut remplacer ça...

vendredi 1 août 2008

Joyeux anniversaire !

J'ai appris ça ce matin.

J'avais pas oublié, mais mon calendrier électronique était décalé d'un jour, j'étais toujours le 31 Juillet.

Enfin l'incident passé, je peux décréter aujourd'hui : J'ai 24 ans.


24 années passées, déjà.


Joyeux anniversaire à moi !

vendredi 25 juillet 2008

LOL

WAAAAAAHHHH

HA HA comment t'as flippé c'était trop drôle

...

Eh ho c'est bon tu peux te relever

...

Ah merde, il est mort. C'est le troisième depuis hier, cette blague est mortelle !!!

mercredi 23 juillet 2008

Brodway sur Mer.

Voici les deux chanteurs que j'adule plus que tout.
Ils m'ont réconcilié avec la chanson française.


mardi 22 juillet 2008

Le drame de l'écrivain, ce poète

C'est un cri aujourd'hui muet qu'un auteur pousse.

Les explications

lundi 21 juillet 2008

Dimanche glorieux

J'ai retrouvé ça avec l'aide de mon pote hasard ( non Thierry n'est pas mort )

Les règles du kamoulox

J'ai inventé quelques coups juteux pour les rares fois où j'ai joué.

Adnihilo s'en souvient !

samedi 19 juillet 2008

Du côté des chez Lourdes

Moi, dans son infinie bonté qui l'étonnera toujours, je souhaite vous rendre service.
J'ai laissé passer la Saint-Valentin et les fêtes de Pâques. Noël dernier et le nouvel-an.

Mais à l'heure des départs en vacances je me dois d'intervenir.

Je vous présente donc le professeur Paul Emile Raoul, qui vous aidera j'en suis sûr !



Souvenez-vous, même si vous ratez Monsieur Griffon, lui ne vous ratera pas.
Bonne nuit braves gens.

jeudi 17 juillet 2008

Et le jeudi c'est permit !

Je viens de tomber sur le myspace de Charles Baudelaire.

Si je vous assure, il a son myspace. Mais quand à savoir s'il écrira bientôt un nouveau livre, that is the question..

http://www.myspace.com/charles_baudelaire

Aujourd'hui c'est Jeudi


Je suis doué en géographie de calendrier.

Bien comme ce blog suit un fil un peu éméché, je me dois d'intervenir. C'est vrai ça, quelques post inutiles, c'est quelques post de trop.

Photo non contractuelle. Quoique.

Après tout, il existe des gens qui en rêvent. Tâchons de les décevoir !!

Ma gigue intellectuelle remplace la sexuelle. Je me prépare avec la hâte du gamin qui sommeille au fond de moi à voir tomber la neige nucléaire pour Noël, à fêter mes quatre ans sans femmes ni sexe. \o/

Les temps sont cléments ces temps-ci. J'ai une paix royale sur msn, la météo abreuve généreusement mon ciel de soleil et de pluie.
Le chien abreuve généreusement mon jardin avec cet air suppliant, du genre " je suis une loque je mérite pas ta pitié" de ses merdes. C'est chien après tout, il est con naturellement pour se prendre le mur quant il suit une piste.


Mais bon je ne les déteste pas tous. J'ai un bon fond ( encore un défaut tiens ! )

Et voilà encore un post où il ne passe rien. C'est tout moi ça.
C'est vrai je pourrais vous parler de mille choses. Comme le départ du tour de France chez moi, à Lannemezan. Mais j'aime pas le vélo.
Je pourrais vous parler de la progression de mon livre, mais bon ça intéresse qui ça ?
Je pourrais vous parler de la progression de mes dessins, mais bon ça intéresse qui ça ?

En fait j'ai rien à vous dire.

Encore un post à la con.

dimanche 13 juillet 2008

changez cette porte

La portée de philosophie de ce blog m'étonnera par son amour des pâquerettes.
Il faudra que j'y remédie.

Je vais pouvoir poster mes dessins.

Et un peu de cul, y avait longtemps.

samedi 12 juillet 2008

Aujourdh'ui j'ai mangé des fraises

J'aime beaucoup cette phrase.

Juste pour dire qu'il est vain, inutile, ou mieux futile d'essayer de pénétrer le royaume oublié, perdu.
Jamais homme ne rentrera dans l'esprit féminin.

Moi j'ai pas essayé, je préfère jouer aux jeux vidéos. Je ne suis pas kamikaze.
Mais me direz-vous, comment faire si personne n'ose aller au front pour découvrir les dessous de la choses.
Le sage au sommet de la montagne avec avec sa barbiche de trente centimètre qu'il faut peigner tous les matins, vous dira.
"Regarde plutôt le dessous des jupes, c'est moins compliqué"

Merci sage en haut de la montagne qui se peigne les testicules. ( oui c'est pour pas dire couilles )
Le mot de la fin, la simplicité. Restez chez vous, elles sont dangereuses.
Moi ça va, j'ai acheter un truc à Smith et son pote Wesson. Infaillible.
Je suis peut-être un poil misogyne là. Mais je suis un maître en humour noir et absurde, c'est encore plus drôle si vous ne comprenez pas. Drôle pour moi j'entends.

Sinon
J'ai un peu mal au crâne, et vous ça va ?

dimanche 6 juillet 2008

Pense artiste !

Les aventures bloggesques continuent avec la reprise du dessin laissée à l'abandon après un peu plus de huit ans d'absence.

C'est pas brillant, mais j'avance vite.

Je vous posterais quelques essais.

Lundi vais poster mon CV dans un magasin de jouet.

vendredi 4 juillet 2008

En ce moment...

Je joue à ça :
C'est passionnant, innovant; calme. Seuls vos talents de gestionnaires et commerciaux vous vaudront la place d'honneur.
C'est complètement gratuit, pas d'installations, juste internet.


jeudi 3 juillet 2008

Picture of the day !

Je me l'étais promis je l'ai fait.

La refonte de mon roman.

Vous risquez de pas me voir souvent souvent, mais je reste là. Vous avez mon adresse sinon !

Amis parisiens !

Voici pour vous qui et pour tous ceux qui désespérez sous la grisaille couleur gris pollution du ciel parisien.
Voir même devant la grisaille du reste de la France.

A consulter chaque jour de votre vie pour croire à une autre vie.

Astronomy pictures of the day

Nouvelle !

Ingrid Bétancourt vient d'être libérée !!

La fin des splendeurs

Quand je pense que j'ai vécu quelques années en pleine violence urbaine quotidienne et que je m'en suis tiré sans rien du tout.
Qu'il a fallu que je bosse en librairie pour cumuler un prêt de 2000 euros, un début d'ulcère, une perpétuelle angoisse, que j'ai perdu 5 kilos à force de bouffer deux sandwich par jour.

Y'a un truc qui cloche quelque part.


Je suis à présent chez mes parents, je retape la maison. Je me sens plus zen de risquer le coup de perceuse de traviole ou le coup de jus, que le travail. Ça me stress moins, je fais moins de cauchemar, j'ai moins d'ulcère, pas de migraines, je n'ai pas à choisir entre manger ou payer mon loyer.

Tin j'aurais dû faire mercenaire ou tueur à gages.

mercredi 2 juillet 2008

Les splendeurs...

Quelques questions en suspend, un temps bien changeant qui affecte un peu trop mon humeur, non qu'elle soit particulièrement maussade, mais il y a un truc dans l'air qui me fait passer du plus enthousiaste levé matinal pour pester contre le système électrique de cette maison à un levé timide presque trop apathique.
C'en devient stressant.

Aux grandes chaleurs étouffantes succèdent des orages sonores lumineux qui laissent la grisaille humide s'installer deux trois jours. Les températures chutent.
J'ignore pourquoi, un manque de volonté m'étonnerait, mais durant ce changement de quelques heures seulement je perd le fil des lignes de cet excellent bouquin.

Les mots perdent leur sens, leurs empreinte sur mon cerveau. Tout est déstabilisé d'un coup je semble me noyer dans une sorte de mutisme de mes pensées.

Etrange.

J'ai fais le deuil de la librairie. Je vais passer le concours de fonctionnaire, et tant pis si ça fait de moins un planqué. J'avais le feu, la passion du métier. J'étais débordant d'énergie.
Et puis je me suis rendu compte de ce qu'étaient vraiment un libraire.
On ne se bat plus pour le livre, mais pour survivre, pour le fric. Quelques-uns tellement cons qu'ils sacrifient la notoriété de leur boutique pour un carton dont personne d'autre que l'apprenti ne peut se charger. J'ai vu des comportements inexplicables.
Trop d'effort et aucune récompense, je ne marche pas à la carotte. C'est fini.
C'est avec un peu de tristesse que j'en regarde certain se casser la figure.

Mais bon, moi je veux faire quelque chose de ma vie, bibliothécaire ce n'est peut-être pas génial, mais ça me permettra de vivre correctement tout en restant dans le livre.
Je veux voyager, je veux une Dodge Charger de 69, je ne veux plus avoir à stresser pour des factures, je veux lire, payer des choses à mes amis. Sans être dans le rouge une semaine après la paye !

Ma décision est prise et au diable la librairie, c'était bien pour les clients que j'ai rencontré et quelques libraires, pour le reste...moi je me casse.

lundi 30 juin 2008

Pour changer.

Il est temps que je me soigne

Je viens de rentrer d'une journée mouvementée.
D'abord on passe voir la famille, moment agréable s'il en est...ensuite je passe voir mon beau-frère, et là des amis de ma sœur débarquent.
A vrai dire on a beaucoup discuté boulot avec mon beau-frère et un collègue de ma sœur.

Mais la Béatrice, je dois dire, qu'elle n'est pas vraiment belle, typée Sud avec l'accent et la bonhomie dans les yeux. L'air enjoué de sortir avec des potes des soirées ou les potes finissent toujours bourrés.
Mais comment dire...

Ça m'a retourné le bas ventre. Inexplicable. Pas trop de forme pourtant, mais juste rebondi là où il faut, une énergie dans le regard, un rire franc.
J'ai bien failli passer la dead-line et la violer sur place devant ses copains, j'ai accroché ma main dans ma poche pour ne pas avoir de geste déplacé.


J'aurais tenu trois ans, trois ans sans femmes. Mais là ça devient intenable. Je passe ce putain de concours et après ça copain ou pas copain, rien à foutre. J'en embarque une.
J'ai trois ans d'énergie à revendre, pas uniquement sexuelle.

Même Duracel il pourra pas faire mieux, son lapin j'en fais qu'une bouchée question compétition il va mourir épuiser d'avoir fait la course avec moi.

vendredi 27 juin 2008

Hum..

Je subodore que les activités pratiquées ces derniers temps eurent un effet tout à fait dévastateur sur mon moi, l'existentiel même empirique de mon non ingérence à l'équateur sub saharien du tropique des mes glaires.

Oh et puis merde ....

Fuck off the fucking ennui !!

mercredi 25 juin 2008

Grande découverte !

J'ai fais une grande découverte.

Si ta montre avance d'une minute sur le reste des gens autour de toi, ben t'es dans le futur.
Et si tu recules d'une minute, ben tu reviens du futur !

Et si tu casses ta montre alors que tu as une minute d'avance sur les autres gens, tu es prisonnier du futur.
Car comme disait Le cochon d'inde : " plus le temps passe et plus le futur est plus moins loin que quand il était prêt ! "

Etonnant non !

Y a des fois où...

Je passe dans le couloir, mon père sort des toilettes. Je me poste près à l'embuscade et je hurle au moment ou il sort :
_ OUAIS !!! BRAVO !!!! Tout en applaudissant. Et je suis parti mort de rire sous son regard indescriptible de " mais qui c'est cet abruti !"

Y a que moi pour faire des trucs pareils !

mardi 24 juin 2008

Le fabuleux destin de ma vie sentimentale

« Une femme a un ami masculin proche. Ce qui signifie qu'il est probablement intéressé par elle, ce qui expliquerait pourquoi il lui tourne tellement autour. Elle le voit strictement comme un ami. Ca commence toujours par "tu es un mec formidable, mais je ne t'aime pas de cette manière". En gros, c'est un peu comme si un type se rendant à un entretien d'embauche s'entendait dire par l'entreprise : "vous avez un excellent CV et toutes les qualifications requises, mais nous ne vous embaucherons pas. Cependant, nous utiliserons votre CV comme point de comparaison avec tous les autres postulants. Mais nous allons certainement embaucher quelqu'un d'autre de nettement moins qualifié et probablement alcoolique. et si ça ne marche pas avec lui, nous prendrons un autre, mais toujours pas vous. En fait, nous ne vous embaucherons jamais. Mais nous vous appellerons de temps en temps pour nous plaindre auprès de vous de la personne que nous avons embauchée" »



Voici le résumé de ma fabuleuse vie sentimentale, merci à bashfr.org

Cette semaine...

Rien...ou plutôt pas grand chose.

Je jette un œil aux concours administratifs et plus particulièrement celui de bibliothécaire. Les inscriptions débutent en septembre.
Une bonne situation, un métier toujours dans le livre, et bien payé.

Sinon je renoue avec le dessin, mais 7 sept d'absence se font ressentir cruellement. aussi je reprends les bases et ressortant l'immortel personnage en allumette.
Je lui ai toujours mis un short et un chemise, une mèche étrange ( comme celle que j'avais avant ) des lunettes noires ( passe partout pour les expressions faciales )


Histoire de caser des anecdotes amusantes ou non, mais en mieux.

vendredi 20 juin 2008

Que ça à foutre...

Ne cliquez pas à la !


C'est parfaitement inutile, mais ça a le mérite de faire passer le temps. Ce n'est pas une pub, ni un virus, rien du tout, sinon je le mettrais pas.
C'ets un lien qui va me permettre de jouer à un jeu par navigateur tourné vers la courses futuriste au design sympa.
Mais au moins, pas de blaireau dans mon alliance, pas de joueurs 15 fois plus fort que moi qui m'écrase trois fois par jour parce qu'à 16 ans on est toujours un peu très con.
Gestion de course et rien d'autre, et c'est reposant au moins comme jeu !

jeudi 19 juin 2008

Bla bla bla

Mais quel bavard cet oiseau. Chaque jour il est posé dans l'arbre du jardin, pas le grand sapin l'autre.
Et il parle, il parle, à longueur de journée.

Au bout d'un moment on s'habitue remarquez. Ça doit être une mésange je crois.

mardi 17 juin 2008

Et si...

...On claquait tout. Comme ça. Pas besoin de coup de tête. Pas de valise, pas de but ni destination.
Rien.
Il est parti comme ça, rompant son habitude de prévenir sa prévenance et prévoyance. Il aurait pu suivre un rêve, une image, une femme, un leader.
Rien.
Il est parti comme ça.
Il aurait pu se suicider, il était déjà mort depuis longtemps. Il s'en ait rendu compte comme ça, l'espace d'une seconde qui volait entre deux autres dans la multitude. Il s'est rappelé quelque chose.

Je l'ai trouvé marchant jusqu'à la frontière. J'y avais massé une compagnie entière. Il m'a dit vouloir passer, il m'a dit avoir quelque chose à faire là-bas. Quand je lui ai demandé où il a pointer le doigt vers l'horizon, des plaines sur trois cent kilomètres.
Il n'avait pas l'air étonné quand je lui ai dis que c'était la guerre, que nul ne pouvait passer, il a paru s'en fiche, tout simplement. Je lui ai dis que la mort n'était pas un voyage malgré ce qu'on pouvait en penser. Il a répondu qu'il savait avec un étrange sourire, indéfinissable.
Je crois qu'il s'était détaché de toute chose et que ce qui l'a ramené c'était de savoir qu'il y avait quelque chose derrière l'horizon, derrière l'horizon de sa propre vie j'entends.
Il s'est engagé, et m'a raconté pendant des années un peu de sa vie. Je n'ai su que trois ans après qu'il avait quitté sa famille, son travail.

Laissez-moi vous raconter qui il était, moi qui ai vu le monde dans son intégralité, ce fut bien une des rares choses que je n'ai jamais su.

Appel

J'admire sa patience, sa façon de me narguer simplement par sa présence et les efforts du hasard. J'en suis venu à le considérer comme, non un ennemi mais une étape du cheminement des états d'esprit. Alors que je pensais qu'il n'était que la fin, une sorte de hâtive conclusion, il n'est en fait dans le pot pourri que le fond, le début, celui d'où vient le parfum le plus fort.
Après lui vient les différentes saveurs, au nombre de six ou sept.
A commencer par le lundi et sa mélopée traditionnelle intitulée 7:00
Le mardi et son tribal Aller on y r'va !
Le mercredi et son très noisy Va chercher tes gosses à la cantine.
Le jeudi, le plus emmerdant.
Le vendredi, c'est bientôt la fin.
Le samedi, tu l'as dans le cul t'es trop crevé pour faire la fête.
Et nous voilà au dimanche, maugréant, jurant vengeance, ruminant les maléfices et rêvant d'un rabot pour refaire sa famille, ou d'une truelle.

Finalement on trouve une utilité à tout, même au dimanche. il réserve un tas d'activité que le commun des mortels ignore hormis dans les rêves.
Oui, tu peux trouver une fonction tout à fait inédite dans la cuiller qu'utilise ton adolescent le matin en mangeant ses céréales. Réfléchi un peu tu trouveras.
Bon dimanche !

contemplations.

Je suis retombé sur un texte à moi il y a peu.
Je vous en met un extrait.

Ne me demandez pas ce que je suis venu faire dans ce cimetière. Aucune idée. Et puis on s’en fout. Je marche dans les allées, le gravier bruisse sous mes pas. C‘est histoire de flâner un peu. Il fait gris mais il y a du soleil. De drôles de fées aux jambes croisées galbées de grâces pullulent sur les tombes recouvert de plantes grimpantes. Entre deux mondanités elles se brossent les cheveux comme des sirènes. J’entends leurs rires qui fusent comme des aiguilles. Elles ne prêtent pas attention à moi.
De chez moi jusqu’au cimetière, y’avait un bon chemin, je me suis traîné sur des centaines de mètres. Les avenues jalonnaient des corbeaux bien muet. C’est le froid d’automne, ils se ramassaient sur eux-mêmes. Des hiboux lisaient le journal au travers de l’épaisse brume des pipes et cigarettes dans le tramway et les rues. Les épiciers qui comptaient les pommes et vendaient des haricots, les restaurants se couvraient de monde. Bientôt midi.

C'est un simple texte, ici un extrait, le premier paragraphe, à l'époque je travaillais mes ambiances essayant de les styliser dans trop de description, c'est à dire qu'elle n'est pas fouillée. Je créais un parfum.

lundi 16 juin 2008

Euthanasie et compassion

Voilà deux mots bien opposés dans mon vocabulaire.

Mais pour prouver cela faisons une exception. Et parlons d'un cas douloureux du paysage télévisuel français. Et portugais par la même occasion et je les comprends tout à faits les pauvres.

Bénie l'époque où l'hystérie se soignait par une trépanation en règle.

Aujourdh'ui et pour ce cas là, je tiens à adresser ma plus grande admiration et sympathie aux enfants de cette personne, qui méritent qu'on les applaudissent parce que vraiment ils ont un courage certain.

Maintenant parlons de LIO.

Nous avons pu constater son apparition, sa réincarnation dans la nouvelle star. Aux côté d'un autre mort né de la chanson française qu'est Sinclair.
Quel terrible sort d'être un has-been. Que nenni, il y en a qui sortent, monsieur Leconte par exemple qui a remonté la pente sans montrer son cul à la télé.
Lui ne chante pas possédé par la lubricité au point de danser à poil sous sa micro-jupe qui n'envie rien à la taille d'une molécule.
J'aurais souhaité qu'un homme condescendant envers son prochain finisse par mater une hystéro-furie comme cella-là. Mais en fait, je ne peux pas souhaiter à un homme d'endurer ça. Je ne suis pas aussi horrible.

Rehaussons le niveau intellectuel et culturel de la télé, qui passera du zéro absolu au zéro absolu moins un.
Rappelons le docteur Petiot pour une dernière consultation qui le fera devenir bienfaiteur de la télé, de la chanson et du Portugal.


Ou alors recyclez-là dans le porno. Mais par pitié, par décence envers les femmes, ne la laisser plus apparaître à la télé. Faites ça pour les femmes, pour la France, pour le Portugal, pour le monde !!!

Ou alors retirez-lui es enfants, qu'ils ne souffrent pas les pauvres de voir leur mère transformée tous les soirs en pute de bas-étage qui lécherai une plaque d'égout pour avoir le privilège de se faire sauter.
Acheter lui un jouet sexuel.

Mais faites-là disparaître !!!!!!

La même journée

J'ai fait un drôle de rêve cette nuit. Après avoir visionné la quasi totalité des épisodes des chroniques de la guerre de Lodoss.
Je me suis retrouvé cette nuit dans la peau d'un sorcier dans une sorte de monde moderne à la recherche d'un coffre me semble-t-il.
Je m'étais associé à un voleur et un guerrier, frères d'armes dans l'éternel, qui rentraient à peine dans ma voiture, une Ford échappée d'un circuit Daytona.

C'était rigolo n'empêche, et ça me donne une idée moi qui n'ai jamais réussi à écrire de la fantasy pour le moment. Je m'y emploi avec mon blog fiction mais je me heurte à un obstacle de taille.
Les images.
Je crois que c'est le pire obstacle que j'ai rencontré, du moins pour moi qui ai toujours eu le goût de l'imagination et de l'éthéré. La visualisation du texte en image. Ça détruit la grande part de style et d'ambiance. Puisque ces images sont de la description.
Grâce à la description, la noirceur évidente de mon personnage principal s'en trouve ternie et passe au second.
Je m'emploie à la minimiser.

Et je repense à ce rêve où j'envoyais balader des figures haïes du passé d'un revers de la main ou a coup de bâton dans la gueule.

Je vais essayer d'en tirer quelque chose.



Promotion

Les efforts payent. Dans l'univers d'ogame, je viens de passer capitaine de section.
Dans tribal wars je m'efforce de seconder le grand chef en mettant en place une campagne militaire de grande envergure dans le but de doubler les villes conquis et d'étendre le territoire occupé.
Surtout le mien en fait.


dimanche 15 juin 2008

Parfois...

...Il faut se laisser porté.

C'est dimanche. Ce jour m'a toujours déprimé du plus lointain souvenir à aujourdh'ui.
Sachons tout de même en faire quelque chose.


Découvrez Zero 7!

vendredi 13 juin 2008

1 Kilo de nutella

En discutant avec Camille hier soir j'ai évoqué un sacré bon vieux souvenir.
La première femme dont je suis tombé amoureux.
Elle s'appelle Lucie Hypolite, vit à Dunkerque, encore à l'heure actuelle.

En l'an 2000, un futur avatar de la noirceur humaine se développe. Il est encore au stade embryonnaire et garde pour lui les réflexions les plus horrible qui l'ont toujours fait rire.
Il tombe amoureux, elle est belle, intelligente, rayonnante et fascinante.

Eh là c'est le déclic, l'écriture lui vient, la manie de tortiller les mots pour extraire l'essence lui prend. C'est une année de bonheur.

Découvrez Overseer!


Un an plus tard il déménage.
6 ans après il revient sur ses pas, voir son meilleur ami. Il est heureux, c'est son meilleur pote, ils sont cul et chemise ces deux-là, depuis maintenant 10 ans.
Ah mon bon vieux Martinez tu me manques !
Et puis il a l'idée d'aller lui dire bonjour, voir ce qu'elle devenu depuis qu'il n'a plus les sentiments qu'il a eu et qui ont révélé le futur dévoreur d'âme qu'il est devenu.
Ils ont galéré pour trouver la rue correspondante à son adresse. Mais ils l'ont trouvé.
Il a sonné, empêtré dans ses habits de corbeaux. Elle a ouvert. Encore plus belle qu'avant.
Il a parlé.
Elle est parti au bout de trois minutes, elle devait sortir ce soir avec ses copines.

Il était content, elle lui avait claqué la porte presque à la gueule, mais il était content.
Pourquoi ?
C'est simple, le mythe est tombé tout seul. Qu'elle aille se bourrer la gueule et se faire troncher dans des chiottes minable et dégueu.
Moi je vaux beaucoup mieux que ce genre de gonzesse.
Néanmoins j'ai beau voir qu'elle devenue aussi conne que les autres, je garde d'elle le souvenir de la seule chose que j'ai appris des femmes.
Le pouvoir des mots alimenté par la haine de cette espèce dégénérée à laquelle j'appartiens.
Rien que de connaître son futur, le rire me vient à la bouche. Rien que de savoir qu'avec ses études de cinéma, elle, qui me semblait unique à l'époque, est devenue une pauvre andouille comme les autres gens.

jeudi 12 juin 2008

La meilleure façon de marcher.

J'ai découvert ce matin, aux environs de 10h40. J'étais réveillé à 7H45, mais au vu du temps, imaginez cent anges qui pissent dans un verre d'eau, je suis resté couché.
Bref j'ai découvert un téméraire sur ma joue. Un poil noir.
Tout seul dans sa traversée du désert.

Ensuite j'ai bu un café, fumé une clope sorti ce foutu clébard qui pisse comme une vache qui chie six fois par jour et qui casse les pieds avec sa baballe.

J'étais pleins de bonne volonté ce matin. Près a en découdre une fois de plus avec la cuisine ou divers travail. Appeler quelques librairies du coin.
Et mon moral s'est barré la queue entre les jambes.
Voilà le rappel des faits.

Mon ordinateur à un problème de RAM, fréquent vidage de la mémoire physique. Freeze du système intempestif. Je n'ai pas de lecteur disquete, impossible pour moi d'effectuer sauvegarde et test de mémoire.
Réparable.
Ma maladresse a fait un trou dans l'écran environ 2mm², pas trop grave en bas de l'écran on le voit pas.
Mon frère et super chiant, euh super chien ne sont pas foutus de s'entendre.
Mon père râle toute la journée, alors pour faire un truc constructif, faut se lever très tôt. Et quand je me lève très tôt il me demande ce que je fous là...Passons.
Je devais appeler quelques librairies et me déplacer en ville. Trois orages consécutifs en une après-midi. Il a plu des cordes. Jardin boueux, chien d'extérieur qui s'emmerde. Pas le doit de fumer à l'intérieur de la maison.
Grève de la SNCF, faut que j'aille dans trois villes différentes à une heure de route.

Sinon je dois dire que ça baigne plutôt bien. J'ai retrouvé la pêche niveau écriture. C'est bien le seul truc positif en ce moment, je me sens énervé ces derniers temps, tendu stressé. Je n'aime pas ce temps ça me rend irritable.

Sinon le poil se porte bien.

Hans Henny Jahnn est probablement le plus grand auteur allemand méconnu du 20ème siècle. son œuvre est stupéfiante

mardi 10 juin 2008

Exaltant n'est-ce pas...

La semaine qui suit ce tonitruant lundi va être sans appel ni anicroche une chouette semaine peuplée de voyage.
1 h de train c'est quand même un voyage, mercredi par exemple, je refais un saut dans la ville qui m'a vu naître.

Et c'est super intéressant pour vous de le savoir.


Sérieux !!!!????

Ça fait cinquante et une minutes que nous sommes Mardi 10 Juin

Etonnant non ?

lundi 9 juin 2008

La grande blueue

Alors que mes activités extras-fainéantises me poussaient au bord de la fatigue. Je fus happé un soir par un pote qui comme moi décide à quelle heure il doit dormir.
Enculé de Swatch, on s'en fout s'il est minuit !!

Nous avons échangé diverses vérités universelles sur Chuck Norris
Chuck Norris peut couper un atome en deux à mains nues.

Je suis retombé sur un vieux manuscrit, et même plusieurs. Ben ça m'a fait tout drôle de revoir les doubles des manuscrits commandés par des adeptes de fantasya.net comme moi.
Je me suis demandé si c'était moi qui les avais écris. Eh bien oui !

Ah la la, que de souvenir.
Il n'y a que Iris et Aglaë chez moi qui ont trouvé ça intéressant. Rah elles m'aiment ces deux-là, surtout qu'Aglaë dispose avec goût de jolies et fines auréoles blanches, comme de petites mais nombreuses marques d'affection, à moi qui m'en occupe si bien.

Merci Chuck Norris, merci Adnihilo.

mercredi 4 juin 2008

Tu r'veux une part de tarte ?

Seul objet de consolation, la peinture à faire à la cave.

Ironie du jour, un mail de la DRH que j'attendais depuis deux ou trois jour était simplement planqué dans les courriers indésirable.

C'est la moindre des ironies, mais j'apprécie beaucoup la chose.

Aller, vous pouvez me le dire, qui a flingué les hirondelles ? Ça restera entre nous..

dimanche 1 juin 2008

Chantons sous la pluie.

Totale démoralisation.

Chatons sous la pluie mon cul oui !

Je vous recontacte, en attendant ne vous paluchez pas trop.

jeudi 29 mai 2008

Grand phénomène malade

Aujourd'hui, grand manège.

Problème avec les impôts à priori. Enfin je dis a priori, parce que le problème en fat était inexistant, et seul concerné la capacité sidérale de mon paternel à toujours vouloir avoir raison et détenir la grande vérité sur tout un chacun, qu'il n'hésite pas, et même de bon cœur, à dilapidé joyeusement dans nos oreilles trop distraite à quelque chose de plus intéressant.

C'est fascinant, et encore plus quand on se rend compte qu'il n'y a aucun problème avec les impôts hormis une fâcheuse erreur qui doit causer le déménagement de ma sœur d'une maison à un appartement ou une autre maison, mais 200 euros plus chers environ.
En effet mes parents ( surtout ma mère ) se sont séparé sans divorcé, et donc ont signalé cet état de fait aux impôts...sage décision de ma mère à cette époque là. Mon paternel a toujours eu un accent comment dire...invivable parfois. Trop souvent...

Ils n'ont pas rectifié le changement et donc mon père doit payer environ mille euros d'impôts. Somme colossale me direz-vous. Et vous n'auriez pas tort.
Donc voilà, c'est ça le problème.
Mais non, pour mon paternel le problème n'est pas le fait qu'il doivent payer, c'est juste un prétexte pour qu'on en prenne pour notre grade gratuitement, parce que ça fait tellement du bien de se défouler quand on est incapable de parler comme un être humain normal.
Et aussi pour qu'on s'occupe de lui.

Maintenant je dois vous dire, mon père n'aime pas :
-le cinéma
-la musique
-les livres
-la télé
-la peinture
-la sculpture
-l'art en général
-les animaux ( sauf notre chien )
-le calme
-la nature
-les gens
-le bruit
-la ville
....

La liste est bien longue.

Mon père aime :
-J'ai pas encore trouvé

Sur ce, je vous laisse apprécier vous aussi ce dont l'ironie est vraiment capable. Mais y'a pire.
Bonne soirée...

mardi 27 mai 2008

On le dira jamais assez...

Pour être à l'heure il faut plusieurs choses...attention réunir ces conditions peut s'avérer dangereux voir fortuit...

-Avoir une montre.
-Ne pas marcher face au vent.
-Partir à l'heure.

Challenge à peine concevable, mais si nécessaire que pendant longtemps il m'a fait défaut.

En effet, je me résigne avec complaisance à vous regarder vous dépêcher, tout en mettant trois quart d'heure pour manger mon sandwich assis sur mon banc au soleil de ma satisfaction et me désaltérant à la source de ma paisible tranquillité.

Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, et que rien ne se perd tout se transforme, j'ai décidé, dans ma sage clairvoyance, de vous livrer mes anecdotes sur vous. Gens qui passez.

Mais pas que ça, j'ai tellement de chose à dire pour et qui ne veulent rien dire, mais parfois si !