vendredi 21 novembre 2008

considérations

Dans mon actuel boulot, il y a un nombre conséquent de femmes. Hier encore, j'étais le seul employé masculin au milieu de onze filles. J'avais eu une dure journée et le soir on m'avait collé à un poste fatiguant. Je remercie le ciel qu'il n'y ai pas eu beaucoup de monde.
J'avais beau les repousser, elles s'intéressaient quand même à moi sous prétexte que j'étais physiquement là. J'en avais vraiment marre et j'étais d'assez mauvaise humeur.

Il y a de ces fois où travailler dans un environnement féminin relève de la Justice chez Kafka. Ce matin j'ai fais deux cauchemars dans lequel j'incarnais un monsieur K dans une sorte de revisitation du Procès, mais uniquement avec des femmes. Tout ce que je pouvais dire n'avait de but dans leurs cerveaux que de m'enfoncer, ne serait-ce que la simple considération du beau temps.
C'est effrayant !

A la fin je me faisais sauter avec un bâton de dynamite dans la bouche pour être sûr de retrouver ma liberté. J'étais joyeux car je partais en mille étincelles en réduisant à néant le kiosque où se déroulait les simulacres de procès.

dimanche 9 novembre 2008

Dernière publication

Oui dernière publication, datant du 1er Novembre.
Mine de rien ca fait huit jours.

J'ai pour excuse un immense bordel à gérer et ranger au compte goutte, donc je me la joue archiviste polyvalent et je passe d'un service à l'autre sans ciller.

Certes j'ai quelques bouquins à lire pour renflouer la filiale et de nouvelles et brillantes idées. De plus l'irrépressible besoin de voir la mer me taraude les méninges ces dernires temps.
Un futur coup de tête à prévoir...

Des perspectives d'avenir fort réjouissantes. Un rêve récurrent qui me concerne moi ainsi qu'une amie de ma soeur et de moi-même. Des horaires n'importe nawak au boulot. une certaine lassitude à l'arrière goût de gâchis et d'impatience, du sud de la france.
Une correspondance en retard pour diverses personne et surtout la seule sur cette planète que je peux aimer.

L'air du temps qui change, allongeant les journées et abrégeant le jour au profit de la nuit à la fureur visible qui ne s'embarasse pas d'un crépuscule versatile.
Bref, je suis sur l'enclume du doute et le marteau n'a pas encore frappé.

J'ai tout de même eu droit à un dimanche agréablement ensolleillé gâché par d'ignobles heures de travail mal placées.
On se console comme on peut.

Je joue trop au solitaire, et je devrais récupérer internet normalement sous peu.

samedi 1 novembre 2008

filiale

Nous l'avons dit, nous l'avons fait.

Voir le nouveau lien, " la confrérie des libraires extraordinaire"