jeudi 25 septembre 2008

Opération commando !

Titre exhaustif s'il en est...

C'est le nom que je donne "amicalement" aux idées tordues qui viennent souvent à l'esprit de ma sœur. Sauf que maintenant c'est une véritable campagne car elle a convaincu un de ses amis et collègue de boulot d'ajouter sa touche de fantaisie au complot.
Mais voilà monsieur Cavalier est bien retors.

Car il s'agit d'un projet secret dont je vais vous révéler les tenants et aboutissants :

S'occuper de moi. Me forcer à me rendre présentable car je n'entretiens pas mon physique pour le moment ( coiffure, barbe etc...) et probablement me présenter une "copine" que mes plaisanteries vont sans doute faire rire une fois.


J'en endure des tortures ces temps-ci.

Première partie les fringues. Imaginez-moi en habit de tous les jours. Chemise, pantalon noir, chaussures noires, manteau noir. De temps à autre je met de la couleur, mais j'aime les couleurs sombres.
Maintenant laissez un jeune dont les tendances techtoniques sont latentes. Certes il est très sympa, ça je ne dis pas le contraire.
Inutile de vous décrire mon engouement absolu devant telle dévotion.
A bas les pacifistes.


Les gens naviguent dans un monde étrange. Je vais rester sur la berge à les regarder ramer.
Un café noir et chaud, un livre et un peu de musique. Je me la coule douce.

J'ai pas besoin de femme dans ma vie, j'ai des amies que j'aime beaucoup et voilà qui suffit à mon bonheur social catégorie "femme"

Le célibat est la nouvelle maladie.
Sauf que là les médecins auto-proclamés ne vous soignent pas, ils vous euthanasient directement.

lundi 22 septembre 2008

Question



Suis-je capable d'aimer ?
...
Suis-je capable de répondre à cette question ?
...
Oui


Les gens qui me connaissent savent qu'il est impossible pour moi de me fondre, malgré certaines envies, dans une vie aussi terne que riche en ennui, morbide dans son inexistence.

Le problème est que j'ai une définition de l'amour, appris dans les livres notamment, qui dépasse de loin l'union de deux cœurs et à fortiori de la zigounette dans le pilou-pilou.
C'est en ça que la réponse à la question est ardue. Comment expliquer ce qui reste ineffable à mes yeux, et incompréhensible pour le crétin moyen ( soit le citoyen lambda ).

Depuis tout petit déjà ( mais pas trop quand même ) j'ai destiné ma vie au hasard. Mettre un pied devant l'autre sans quitter des yeux le bout de mes chaussures et de temps à autre lever la tête pour voir où je suis.
C'est un peu ça.

J'ai toujours été relativement solitaire, socialement neutre, à la recherche de gens qui font la différence. J'en ai trouvé quelques-uns et j'en suis content.

J'ai divers problèmes ( identification selon le citoyen lambda qui déjà ne comprendra rien à ce stade là )
__Je vis avec une obsession. Le truc qui fait que je me lève le matin. J'ai toujours vu ça comme un défaut dans les yeux des autres. Cette obsession qui ne porte pas de nom m'a fermé les portes de la vie normale du citoyen lambda. A la place j'ai vu autre chose.
J'ai l'obsession d'aller le plus loin possible dans la définition des choses. Que ce soit de simples rudiments de mécanique, au sens de la vie ( je table stéréotype afin de clarifier la définition subjective de la chose )
Je suis comme un spectateur qui voudrait comprendre le dessous du tour de magie pour sa satisfaction personnelle. Comme mettre à nue pour mes seuls yeux les rouages de la joie procurée par le tour.
Je dissèque la vie dans son intégralité.

__Je suis relativement solitaire. toujours dans le cadre de cette obsession dont la partie visible par le citoyen lambda serait une grande curiosité. Je voyage de chose en chose.
Mais j'aime être seul. J'aime voir mes amis et ils le savent. J'aime bien la compagnie des gens. Mais j'aime être seul.
Il y a dans la solitude un parfum qui n'existe nul part ailleurs.

__Je me définis selon la formule de Jean Giono dans un roi sans divertissement, comme un amateur d'âme. Je collectionne ces gens. Beaucoup sont des amis.
Mais ce qui me plaît le plus là-dedans c'est l'infinité des possibilités offertes.

Pour moi les choses doivent avoir un intérêt, un goût particulier. Je m'exprime assez mal car je manque de vocabulaire pour définir l'ineffable condition dans laquelle je me trouve.


Je sais aimer selon ma définition, mais je ne peux pas car je n'ai encore trouvé personne à la hauteur de ma démesure.
J'ai bien un alter ego féminin. Il me tarde de la rencontrer...

Je n'ai pas répondu à la question, évidemment. Ou peut bien que si. Allez savoir...

Que les sceptiques se rassurent, il est impossible de cerner ma personnalité. Je n'existe pas, je suis une idée de moi-même et l'illusion d'un autre.
A méditer...

Hymne à la joie.

Y'a des fois, on se demande si certaines personnes sont des êtres humains...

vendredi 19 septembre 2008

The return of the Griffon

Grande nouvelle !

Je vais retourner à Paris. Du 24 au 27 Octobre 2008.
4 jours de folies !

samedi 13 septembre 2008

Message à toi !

Se planter quelques millimètres de pointe d'une lame de cieseaux, ça fait pas vraiment mal.
Mais tu pisses le sang, le pansement c'est pour pas en foutre dans le sandwichs.

Par contre la capote ( morceau de latex adapté au doigt de la main ( droite ou gauche je vous vois venir ) c'est un peu space )


Spécial Merci à Vanessa, collègue de travail sans qui j'aurais été en retard !

jeudi 11 septembre 2008

Emerveillement !

Je me suis acheté pleins de bouquins !!!!

Et j'emmerde les dyslexiques !

mercredi 10 septembre 2008

C'est fou ça !

Je m'autorise dans ma grande générosité un post sans aucun intérêt.

Comme ça, j'ai envie d'écrire un truc inutile.

Pour compenser l'hypocrite lèche-cul qu'est mon directeur qui m'a qualifier de bon travailleur.
Si tu savais comme je m'en fous. On serait en librairie, je serais super content. Mais là c'est un Macdo. Tu m'as bien regardé mon vieux !?

Eh oui les grands patrons étaient là aujourdh'ui pour noter.

Il y a cinq minutes, j'ai eu envie d'offrir des fleurs à la femme qui partage ma vie. Mais il n'y a pas de femme qui partage ma vie. Je me suis donc rabattu sur un sourire niais de fol espoir.
Ça met du baume au coeur.
A mettre dans la catégorie aujourdh'ui j'ai mangé des fraises !

mardi 9 septembre 2008

Far away

La vie sur Mars, c'est dur.
C'est très dur même, c'est dangereux surtout si vous n'êtes pas syndiqué.

Et c'est pire quand vous faites comme moi, vou baroudez dans un véhicule nommé betrayal.

Mais c'est passionnant !

Si vous voulez essayer cliquer là, sinon tant pis !
Tem Card Kalendis

lundi 8 septembre 2008

Mitoyen

Quelque part entre l'automne et le printemps, je crois.

Ambiance

Découvrez Skunk Anansie!


Je me sens un peu plus vide qu'a l'accoutumée. Il n'y a rien vraiment, à part faire semblant.
J'ai une place ici, mais ce n'est pas celle qui me convient.
Je compose avec l'attente.
J'attends.

Je fume trop. La bougie se brûle bien vite par certains moments.
Je suis content d'avoir une raison de me lever le matin.

Morceau choisi

La Manzana c'est dégueulasse. Ils peuvent pas boire de bières comme tout le monde.

Je crois que je manque de pratique.

samedi 6 septembre 2008

Souvent

J'ai envie de bousculer un peu les choses.

Non pas trop stagnante, mais disons éthologiquement parlant me mêler aux coutumes de mes collègues de travail.
Dimanche soir première expérience.

Presque !

Cette fille me plaît, mais uniquement physiquement.

Avec un peu de chance ce sera passager...

c'est la rentrée...!

Littéraire bien sûr, les miasmes ambulants bavant des cris qui feraient passer la Callas pour un sofa plus qu'une diva, m'exaspère au possible.

Bref, j'y ai jeter un rapide coup d'oeil de libraire nostalgique à la librairie Privat Lhéris de Tarbes ( les rumeurs affirment que malgré le nombre d'employé conséquent il n'y a qu'un libraire et ce jour-là il était en sortie shoping avec un gay refoulé, une nonchalante anorexique autiste, et ma soeur.

Plein d'entjousiasme en sachant ce que l'on peut faire avec des mots ( huysmans ou encore Peake ) je prenais un nouveau livre pour finalement le reposer et en prendre un autre et faire pareil avec une bonne partie de la production pseudo littéraire d'intellos crasseux imbus d'eux-même.

Quelle perte de temps, quel plaisir gâché, encore une fois.

J'espère juste comme chaque année qu'il y a eu moins une exception. qui traîne quelque part, perdue devant l'empire d' l'illisible.

Où vas-tu ?

Un soir alors que je quittais un ami qui rentrait chez lui j'annonçais mon intention de ma balader.
Il me demanda où j'allais...
Et je répondis sans trop réfléchir en regardant une rare étoile dans le ciel de Paris qui me semblait perdue dans ce monde de fous.
"Je ne sais pas, peut-être derrière l'horizon"


Pour en revenir aux choses matérielles, j'ai eu mon premier salaire depuis le début de l'année.
J'ai donc pu sans remords m'adonner au plaisir d'acheter des livres et de nouveaux habits.
A mettre dans la catégorie aujourd'hui j'ai mangé des fraises.