lundi 30 juin 2008

Pour changer.

Il est temps que je me soigne

Je viens de rentrer d'une journée mouvementée.
D'abord on passe voir la famille, moment agréable s'il en est...ensuite je passe voir mon beau-frère, et là des amis de ma sœur débarquent.
A vrai dire on a beaucoup discuté boulot avec mon beau-frère et un collègue de ma sœur.

Mais la Béatrice, je dois dire, qu'elle n'est pas vraiment belle, typée Sud avec l'accent et la bonhomie dans les yeux. L'air enjoué de sortir avec des potes des soirées ou les potes finissent toujours bourrés.
Mais comment dire...

Ça m'a retourné le bas ventre. Inexplicable. Pas trop de forme pourtant, mais juste rebondi là où il faut, une énergie dans le regard, un rire franc.
J'ai bien failli passer la dead-line et la violer sur place devant ses copains, j'ai accroché ma main dans ma poche pour ne pas avoir de geste déplacé.


J'aurais tenu trois ans, trois ans sans femmes. Mais là ça devient intenable. Je passe ce putain de concours et après ça copain ou pas copain, rien à foutre. J'en embarque une.
J'ai trois ans d'énergie à revendre, pas uniquement sexuelle.

Même Duracel il pourra pas faire mieux, son lapin j'en fais qu'une bouchée question compétition il va mourir épuiser d'avoir fait la course avec moi.

vendredi 27 juin 2008

Hum..

Je subodore que les activités pratiquées ces derniers temps eurent un effet tout à fait dévastateur sur mon moi, l'existentiel même empirique de mon non ingérence à l'équateur sub saharien du tropique des mes glaires.

Oh et puis merde ....

Fuck off the fucking ennui !!

mercredi 25 juin 2008

Grande découverte !

J'ai fais une grande découverte.

Si ta montre avance d'une minute sur le reste des gens autour de toi, ben t'es dans le futur.
Et si tu recules d'une minute, ben tu reviens du futur !

Et si tu casses ta montre alors que tu as une minute d'avance sur les autres gens, tu es prisonnier du futur.
Car comme disait Le cochon d'inde : " plus le temps passe et plus le futur est plus moins loin que quand il était prêt ! "

Etonnant non !

Y a des fois où...

Je passe dans le couloir, mon père sort des toilettes. Je me poste près à l'embuscade et je hurle au moment ou il sort :
_ OUAIS !!! BRAVO !!!! Tout en applaudissant. Et je suis parti mort de rire sous son regard indescriptible de " mais qui c'est cet abruti !"

Y a que moi pour faire des trucs pareils !

mardi 24 juin 2008

Le fabuleux destin de ma vie sentimentale

« Une femme a un ami masculin proche. Ce qui signifie qu'il est probablement intéressé par elle, ce qui expliquerait pourquoi il lui tourne tellement autour. Elle le voit strictement comme un ami. Ca commence toujours par "tu es un mec formidable, mais je ne t'aime pas de cette manière". En gros, c'est un peu comme si un type se rendant à un entretien d'embauche s'entendait dire par l'entreprise : "vous avez un excellent CV et toutes les qualifications requises, mais nous ne vous embaucherons pas. Cependant, nous utiliserons votre CV comme point de comparaison avec tous les autres postulants. Mais nous allons certainement embaucher quelqu'un d'autre de nettement moins qualifié et probablement alcoolique. et si ça ne marche pas avec lui, nous prendrons un autre, mais toujours pas vous. En fait, nous ne vous embaucherons jamais. Mais nous vous appellerons de temps en temps pour nous plaindre auprès de vous de la personne que nous avons embauchée" »



Voici le résumé de ma fabuleuse vie sentimentale, merci à bashfr.org

Cette semaine...

Rien...ou plutôt pas grand chose.

Je jette un œil aux concours administratifs et plus particulièrement celui de bibliothécaire. Les inscriptions débutent en septembre.
Une bonne situation, un métier toujours dans le livre, et bien payé.

Sinon je renoue avec le dessin, mais 7 sept d'absence se font ressentir cruellement. aussi je reprends les bases et ressortant l'immortel personnage en allumette.
Je lui ai toujours mis un short et un chemise, une mèche étrange ( comme celle que j'avais avant ) des lunettes noires ( passe partout pour les expressions faciales )


Histoire de caser des anecdotes amusantes ou non, mais en mieux.

vendredi 20 juin 2008

Que ça à foutre...

Ne cliquez pas à la !


C'est parfaitement inutile, mais ça a le mérite de faire passer le temps. Ce n'est pas une pub, ni un virus, rien du tout, sinon je le mettrais pas.
C'ets un lien qui va me permettre de jouer à un jeu par navigateur tourné vers la courses futuriste au design sympa.
Mais au moins, pas de blaireau dans mon alliance, pas de joueurs 15 fois plus fort que moi qui m'écrase trois fois par jour parce qu'à 16 ans on est toujours un peu très con.
Gestion de course et rien d'autre, et c'est reposant au moins comme jeu !

jeudi 19 juin 2008

Bla bla bla

Mais quel bavard cet oiseau. Chaque jour il est posé dans l'arbre du jardin, pas le grand sapin l'autre.
Et il parle, il parle, à longueur de journée.

Au bout d'un moment on s'habitue remarquez. Ça doit être une mésange je crois.

mardi 17 juin 2008

Et si...

...On claquait tout. Comme ça. Pas besoin de coup de tête. Pas de valise, pas de but ni destination.
Rien.
Il est parti comme ça, rompant son habitude de prévenir sa prévenance et prévoyance. Il aurait pu suivre un rêve, une image, une femme, un leader.
Rien.
Il est parti comme ça.
Il aurait pu se suicider, il était déjà mort depuis longtemps. Il s'en ait rendu compte comme ça, l'espace d'une seconde qui volait entre deux autres dans la multitude. Il s'est rappelé quelque chose.

Je l'ai trouvé marchant jusqu'à la frontière. J'y avais massé une compagnie entière. Il m'a dit vouloir passer, il m'a dit avoir quelque chose à faire là-bas. Quand je lui ai demandé où il a pointer le doigt vers l'horizon, des plaines sur trois cent kilomètres.
Il n'avait pas l'air étonné quand je lui ai dis que c'était la guerre, que nul ne pouvait passer, il a paru s'en fiche, tout simplement. Je lui ai dis que la mort n'était pas un voyage malgré ce qu'on pouvait en penser. Il a répondu qu'il savait avec un étrange sourire, indéfinissable.
Je crois qu'il s'était détaché de toute chose et que ce qui l'a ramené c'était de savoir qu'il y avait quelque chose derrière l'horizon, derrière l'horizon de sa propre vie j'entends.
Il s'est engagé, et m'a raconté pendant des années un peu de sa vie. Je n'ai su que trois ans après qu'il avait quitté sa famille, son travail.

Laissez-moi vous raconter qui il était, moi qui ai vu le monde dans son intégralité, ce fut bien une des rares choses que je n'ai jamais su.

Appel

J'admire sa patience, sa façon de me narguer simplement par sa présence et les efforts du hasard. J'en suis venu à le considérer comme, non un ennemi mais une étape du cheminement des états d'esprit. Alors que je pensais qu'il n'était que la fin, une sorte de hâtive conclusion, il n'est en fait dans le pot pourri que le fond, le début, celui d'où vient le parfum le plus fort.
Après lui vient les différentes saveurs, au nombre de six ou sept.
A commencer par le lundi et sa mélopée traditionnelle intitulée 7:00
Le mardi et son tribal Aller on y r'va !
Le mercredi et son très noisy Va chercher tes gosses à la cantine.
Le jeudi, le plus emmerdant.
Le vendredi, c'est bientôt la fin.
Le samedi, tu l'as dans le cul t'es trop crevé pour faire la fête.
Et nous voilà au dimanche, maugréant, jurant vengeance, ruminant les maléfices et rêvant d'un rabot pour refaire sa famille, ou d'une truelle.

Finalement on trouve une utilité à tout, même au dimanche. il réserve un tas d'activité que le commun des mortels ignore hormis dans les rêves.
Oui, tu peux trouver une fonction tout à fait inédite dans la cuiller qu'utilise ton adolescent le matin en mangeant ses céréales. Réfléchi un peu tu trouveras.
Bon dimanche !

contemplations.

Je suis retombé sur un texte à moi il y a peu.
Je vous en met un extrait.

Ne me demandez pas ce que je suis venu faire dans ce cimetière. Aucune idée. Et puis on s’en fout. Je marche dans les allées, le gravier bruisse sous mes pas. C‘est histoire de flâner un peu. Il fait gris mais il y a du soleil. De drôles de fées aux jambes croisées galbées de grâces pullulent sur les tombes recouvert de plantes grimpantes. Entre deux mondanités elles se brossent les cheveux comme des sirènes. J’entends leurs rires qui fusent comme des aiguilles. Elles ne prêtent pas attention à moi.
De chez moi jusqu’au cimetière, y’avait un bon chemin, je me suis traîné sur des centaines de mètres. Les avenues jalonnaient des corbeaux bien muet. C’est le froid d’automne, ils se ramassaient sur eux-mêmes. Des hiboux lisaient le journal au travers de l’épaisse brume des pipes et cigarettes dans le tramway et les rues. Les épiciers qui comptaient les pommes et vendaient des haricots, les restaurants se couvraient de monde. Bientôt midi.

C'est un simple texte, ici un extrait, le premier paragraphe, à l'époque je travaillais mes ambiances essayant de les styliser dans trop de description, c'est à dire qu'elle n'est pas fouillée. Je créais un parfum.

lundi 16 juin 2008

Euthanasie et compassion

Voilà deux mots bien opposés dans mon vocabulaire.

Mais pour prouver cela faisons une exception. Et parlons d'un cas douloureux du paysage télévisuel français. Et portugais par la même occasion et je les comprends tout à faits les pauvres.

Bénie l'époque où l'hystérie se soignait par une trépanation en règle.

Aujourdh'ui et pour ce cas là, je tiens à adresser ma plus grande admiration et sympathie aux enfants de cette personne, qui méritent qu'on les applaudissent parce que vraiment ils ont un courage certain.

Maintenant parlons de LIO.

Nous avons pu constater son apparition, sa réincarnation dans la nouvelle star. Aux côté d'un autre mort né de la chanson française qu'est Sinclair.
Quel terrible sort d'être un has-been. Que nenni, il y en a qui sortent, monsieur Leconte par exemple qui a remonté la pente sans montrer son cul à la télé.
Lui ne chante pas possédé par la lubricité au point de danser à poil sous sa micro-jupe qui n'envie rien à la taille d'une molécule.
J'aurais souhaité qu'un homme condescendant envers son prochain finisse par mater une hystéro-furie comme cella-là. Mais en fait, je ne peux pas souhaiter à un homme d'endurer ça. Je ne suis pas aussi horrible.

Rehaussons le niveau intellectuel et culturel de la télé, qui passera du zéro absolu au zéro absolu moins un.
Rappelons le docteur Petiot pour une dernière consultation qui le fera devenir bienfaiteur de la télé, de la chanson et du Portugal.


Ou alors recyclez-là dans le porno. Mais par pitié, par décence envers les femmes, ne la laisser plus apparaître à la télé. Faites ça pour les femmes, pour la France, pour le Portugal, pour le monde !!!

Ou alors retirez-lui es enfants, qu'ils ne souffrent pas les pauvres de voir leur mère transformée tous les soirs en pute de bas-étage qui lécherai une plaque d'égout pour avoir le privilège de se faire sauter.
Acheter lui un jouet sexuel.

Mais faites-là disparaître !!!!!!

La même journée

J'ai fait un drôle de rêve cette nuit. Après avoir visionné la quasi totalité des épisodes des chroniques de la guerre de Lodoss.
Je me suis retrouvé cette nuit dans la peau d'un sorcier dans une sorte de monde moderne à la recherche d'un coffre me semble-t-il.
Je m'étais associé à un voleur et un guerrier, frères d'armes dans l'éternel, qui rentraient à peine dans ma voiture, une Ford échappée d'un circuit Daytona.

C'était rigolo n'empêche, et ça me donne une idée moi qui n'ai jamais réussi à écrire de la fantasy pour le moment. Je m'y emploi avec mon blog fiction mais je me heurte à un obstacle de taille.
Les images.
Je crois que c'est le pire obstacle que j'ai rencontré, du moins pour moi qui ai toujours eu le goût de l'imagination et de l'éthéré. La visualisation du texte en image. Ça détruit la grande part de style et d'ambiance. Puisque ces images sont de la description.
Grâce à la description, la noirceur évidente de mon personnage principal s'en trouve ternie et passe au second.
Je m'emploie à la minimiser.

Et je repense à ce rêve où j'envoyais balader des figures haïes du passé d'un revers de la main ou a coup de bâton dans la gueule.

Je vais essayer d'en tirer quelque chose.



Promotion

Les efforts payent. Dans l'univers d'ogame, je viens de passer capitaine de section.
Dans tribal wars je m'efforce de seconder le grand chef en mettant en place une campagne militaire de grande envergure dans le but de doubler les villes conquis et d'étendre le territoire occupé.
Surtout le mien en fait.


dimanche 15 juin 2008

Parfois...

...Il faut se laisser porté.

C'est dimanche. Ce jour m'a toujours déprimé du plus lointain souvenir à aujourdh'ui.
Sachons tout de même en faire quelque chose.


Découvrez Zero 7!

vendredi 13 juin 2008

1 Kilo de nutella

En discutant avec Camille hier soir j'ai évoqué un sacré bon vieux souvenir.
La première femme dont je suis tombé amoureux.
Elle s'appelle Lucie Hypolite, vit à Dunkerque, encore à l'heure actuelle.

En l'an 2000, un futur avatar de la noirceur humaine se développe. Il est encore au stade embryonnaire et garde pour lui les réflexions les plus horrible qui l'ont toujours fait rire.
Il tombe amoureux, elle est belle, intelligente, rayonnante et fascinante.

Eh là c'est le déclic, l'écriture lui vient, la manie de tortiller les mots pour extraire l'essence lui prend. C'est une année de bonheur.

Découvrez Overseer!


Un an plus tard il déménage.
6 ans après il revient sur ses pas, voir son meilleur ami. Il est heureux, c'est son meilleur pote, ils sont cul et chemise ces deux-là, depuis maintenant 10 ans.
Ah mon bon vieux Martinez tu me manques !
Et puis il a l'idée d'aller lui dire bonjour, voir ce qu'elle devenu depuis qu'il n'a plus les sentiments qu'il a eu et qui ont révélé le futur dévoreur d'âme qu'il est devenu.
Ils ont galéré pour trouver la rue correspondante à son adresse. Mais ils l'ont trouvé.
Il a sonné, empêtré dans ses habits de corbeaux. Elle a ouvert. Encore plus belle qu'avant.
Il a parlé.
Elle est parti au bout de trois minutes, elle devait sortir ce soir avec ses copines.

Il était content, elle lui avait claqué la porte presque à la gueule, mais il était content.
Pourquoi ?
C'est simple, le mythe est tombé tout seul. Qu'elle aille se bourrer la gueule et se faire troncher dans des chiottes minable et dégueu.
Moi je vaux beaucoup mieux que ce genre de gonzesse.
Néanmoins j'ai beau voir qu'elle devenue aussi conne que les autres, je garde d'elle le souvenir de la seule chose que j'ai appris des femmes.
Le pouvoir des mots alimenté par la haine de cette espèce dégénérée à laquelle j'appartiens.
Rien que de connaître son futur, le rire me vient à la bouche. Rien que de savoir qu'avec ses études de cinéma, elle, qui me semblait unique à l'époque, est devenue une pauvre andouille comme les autres gens.

jeudi 12 juin 2008

La meilleure façon de marcher.

J'ai découvert ce matin, aux environs de 10h40. J'étais réveillé à 7H45, mais au vu du temps, imaginez cent anges qui pissent dans un verre d'eau, je suis resté couché.
Bref j'ai découvert un téméraire sur ma joue. Un poil noir.
Tout seul dans sa traversée du désert.

Ensuite j'ai bu un café, fumé une clope sorti ce foutu clébard qui pisse comme une vache qui chie six fois par jour et qui casse les pieds avec sa baballe.

J'étais pleins de bonne volonté ce matin. Près a en découdre une fois de plus avec la cuisine ou divers travail. Appeler quelques librairies du coin.
Et mon moral s'est barré la queue entre les jambes.
Voilà le rappel des faits.

Mon ordinateur à un problème de RAM, fréquent vidage de la mémoire physique. Freeze du système intempestif. Je n'ai pas de lecteur disquete, impossible pour moi d'effectuer sauvegarde et test de mémoire.
Réparable.
Ma maladresse a fait un trou dans l'écran environ 2mm², pas trop grave en bas de l'écran on le voit pas.
Mon frère et super chiant, euh super chien ne sont pas foutus de s'entendre.
Mon père râle toute la journée, alors pour faire un truc constructif, faut se lever très tôt. Et quand je me lève très tôt il me demande ce que je fous là...Passons.
Je devais appeler quelques librairies et me déplacer en ville. Trois orages consécutifs en une après-midi. Il a plu des cordes. Jardin boueux, chien d'extérieur qui s'emmerde. Pas le doit de fumer à l'intérieur de la maison.
Grève de la SNCF, faut que j'aille dans trois villes différentes à une heure de route.

Sinon je dois dire que ça baigne plutôt bien. J'ai retrouvé la pêche niveau écriture. C'est bien le seul truc positif en ce moment, je me sens énervé ces derniers temps, tendu stressé. Je n'aime pas ce temps ça me rend irritable.

Sinon le poil se porte bien.

Hans Henny Jahnn est probablement le plus grand auteur allemand méconnu du 20ème siècle. son œuvre est stupéfiante

mardi 10 juin 2008

Exaltant n'est-ce pas...

La semaine qui suit ce tonitruant lundi va être sans appel ni anicroche une chouette semaine peuplée de voyage.
1 h de train c'est quand même un voyage, mercredi par exemple, je refais un saut dans la ville qui m'a vu naître.

Et c'est super intéressant pour vous de le savoir.


Sérieux !!!!????

Ça fait cinquante et une minutes que nous sommes Mardi 10 Juin

Etonnant non ?

lundi 9 juin 2008

La grande blueue

Alors que mes activités extras-fainéantises me poussaient au bord de la fatigue. Je fus happé un soir par un pote qui comme moi décide à quelle heure il doit dormir.
Enculé de Swatch, on s'en fout s'il est minuit !!

Nous avons échangé diverses vérités universelles sur Chuck Norris
Chuck Norris peut couper un atome en deux à mains nues.

Je suis retombé sur un vieux manuscrit, et même plusieurs. Ben ça m'a fait tout drôle de revoir les doubles des manuscrits commandés par des adeptes de fantasya.net comme moi.
Je me suis demandé si c'était moi qui les avais écris. Eh bien oui !

Ah la la, que de souvenir.
Il n'y a que Iris et Aglaë chez moi qui ont trouvé ça intéressant. Rah elles m'aiment ces deux-là, surtout qu'Aglaë dispose avec goût de jolies et fines auréoles blanches, comme de petites mais nombreuses marques d'affection, à moi qui m'en occupe si bien.

Merci Chuck Norris, merci Adnihilo.

mercredi 4 juin 2008

Tu r'veux une part de tarte ?

Seul objet de consolation, la peinture à faire à la cave.

Ironie du jour, un mail de la DRH que j'attendais depuis deux ou trois jour était simplement planqué dans les courriers indésirable.

C'est la moindre des ironies, mais j'apprécie beaucoup la chose.

Aller, vous pouvez me le dire, qui a flingué les hirondelles ? Ça restera entre nous..

dimanche 1 juin 2008

Chantons sous la pluie.

Totale démoralisation.

Chatons sous la pluie mon cul oui !

Je vous recontacte, en attendant ne vous paluchez pas trop.