samedi 30 août 2008

Ètiquette.

Les tourments de l'automne s'approchent et ta porte reste fermée.

Depuis ce jour, où tu m'as laissé seul. Tu m'as poignardé de tes murmures qui fleuraient le café chaud.
Tu m'avait demandé d'être honnête avec toi. J'avais refusé tant d'années. Maintenant je le suis et c'est toi qui fuis.
Je t'avais maintes fois prévenu que ces quelques mots étaient mauvais.

Je ne peux plus être honnête avec toi, je peux plus prendre ce café avec toi. Je ne peux plus te voir. Tu as décidé de fuir, sans doute pour trouver le courage d'être honnête avec toi.
Je ne veux plus que tu reviennes...

vendredi 29 août 2008

La course du soleil

Un peu de nostalgie pour entamer la fin de semaine.


Découvrez Tears for Fears!

jeudi 28 août 2008

Trilogie

J'apprends beaucoup sur moi. J'évolue sans cesse pour toucher cette forme d'excellence après laquelle j'ai toujours couru.
Je vis bien avec mon obsession, que mon défaut d'impatience rend pourtant difficile.

Je sais que quoi qu'il arrive j'ai fait le bon choix. Le bon choix car je sais m'accommoder de celui-ci, trouver mon bonheur en lui.

Je m'attache au présent. Je ne pense pas au futur, il n'a pas de valeur pour quelqu'un comme moi.

Ce que je construit, je ne le fais pas pour les autres, mes amis, ma famille, un futur amour. Je le fais pour moi, parce qu'a chaque pas j'en apprends un peu plus sur moi.
Je me forge moi-même dans un chemin qui n'a pas de fin.


Je finirais perdu dans l'horizon, ou derrière. En attendant je vais marcher plus loin dans ce miroir, dans ces parties de moi que reflètent mes choix.
Mais je marche seul.
Ma vie est incompatible avec une vie pépère à la sauce femme et enfants.

Je vais plus loin que ces conceptions, sans m'arrêter.

Le seul véritable apprentissage, savoir ce qu'il y a vraiment d'inscrit dans le mot vie.

C'est ça mon but.

Camille, que tu permettes de le dire ou non, va te faire foutre avec tes réflexions stupides. Même si je suis seul, au moins j'ai l'assurance d'être toujours heureux, car je construit mon bonheur de moi-même et non d'espoir comme toi. Je t'ai expliqué les règles du jeu, si tu n'es pas capable de faire avec alors tu as échoué avant même de commencer.

vendredi 22 août 2008

Quelque part par là...


Le thé chez les fous.


Des envies de grandeurs. Des impressions de puissance.

Vraiment, ce travail n'est pas glorieux, mais c'est un travail et c'est tout ce qui compte.
Le plus attrayant dans l'histoire est la promesse de mes projets garantie par le doux froissement du bulletin de salaire mensuel.

Sans blagues, des tonnes de jeux vidéos, des voyages. Et peut-être cette femme qui n'existe pas et pourtant bien réelle.
Pour résumer reprendre ma vie là où je l'ai laissé il y a quelques mois.

Mais chaque chose en son temps...

lundi 11 août 2008

Prix Nobel de la paix

En effet il y a longtemps que vous ne m'avez vu.

Je n'avais pas disparu, en revanche je vous demande un peu de temps supplémentaire afin de me préparer spycologiquement à reprendre un boulot.

Car j'ai peut-être trouvé un boulot, j'attends confirmation.

mardi 5 août 2008

AAAAAAAAHHHHHH

J'ai vu ça !
Je l'ai vu !

Jamais...Jamais...jamais je n'ai vu chose pareille.

Je veux vos commentaires, mais d'abord visionnez le premier épisode en entier !

dimanche 3 août 2008

Adieu la gloire !

Parfois il faut savoir mettre temporairement ses envies, rêves ou désirs, appelez ça comme vous voulez, de côté.

Pour mieux les réaliser plus tard.

J'ai toujours haï la patience, même quand ça en valait la peine. Cela ne m'a pas empêché d'attendre. Et aujourd'hui cela fera 24 ans que j'attends.

Et j'y suis presque...presque...

A vrai dire il n'y a pas beaucoup de monde qui peut comprendre ce qu'on ressent dans de tels moments. C'est dur à expliquer pour qui n'a pas cette ambition.
Dire que c'est empêcher un musicien de jouer, un écrivain d'écrire ou encore un peintre de peindre, serait réducteur.
Non c'est comme vous empêcher de faire la seule chose qui vous retient sur cette planète. Presque une privation d'existence pour laquelle vous avez sacrifier tant de choses.
C'est un chemin douloureux et penser que ça n'a servi à rien vous met dans un état indescriptible de détresse.

Je comprends un peu plus ce que mon père exprime si mal ( zéro tact ni diplomatie, pour comprendre ce qu'il dit faut vraiment connaître les tenants et aboutissants de la chose )

C'est simple, tant d'efforts, de sueur et de sang et de choses laissées derrières. Pour au final revenir au point de départ. Vous avez accompli des choses, certes, mais vous savez que c'est du vent quand on vous dit ça.

Il s'agit peut-être de reconnaissance des efforts employés. D'un problème de justesse des choses. Vous avez fait tous ça pour rien.
Alors que d'autres n'ont rien foutu et accèdent à mieux.

Vous ne trouvez pas ça juste, mais vous n'y pouvez rien car on vous traite de jaloux et d'injuste.

La seule chose à faire, c'est de vous battre et continuer. Même si je n'y arriverais pas, je ne peux pas renoncer à tout ce que j'ai perdu.
Surtout quand vous avez commis une erreur, ou du moins ce que vous considérez comme une erreur. Faire machine arrière est impossible, pas par fierté plutôt par raison de vivre.

Je vous garantis que c'est dur, mais pour rien au monde je ne troquerais cette existence contre une autre sans pet de travers, avec BAC, université, copine et super boulot.
Parce que je sais ce que ça veut dire la valeur de la vie et la gloire.
Et rien ne peut remplacer ça...

vendredi 1 août 2008

Joyeux anniversaire !

J'ai appris ça ce matin.

J'avais pas oublié, mais mon calendrier électronique était décalé d'un jour, j'étais toujours le 31 Juillet.

Enfin l'incident passé, je peux décréter aujourd'hui : J'ai 24 ans.


24 années passées, déjà.


Joyeux anniversaire à moi !